Oficinas em saúde mental: uma proposta genealógica do fazer artesanal

Abstract

Avec le mouvement de la réforme des centres psychiatriques de soins psychosociaux qui font la création d'ateliers importants dispositifs d'accueil des sujets en détresse mentale sont créés. L'objectif de ce travail est de discuter du fonctionnement de la création d'ateliers, remettant en question dans quelles conditions les actions constituent ou non un dispositif de promouvoir l'autonomie et l'inclusion sociale dans le domaine de la santé mentale. Avec la proposition de rechercher des discours / pratiques qui guident une vision de la dévaluation des activités manuelles et de domination d'exploitation et la capture subjectivités par la production capitaliste impératif, nous adoptons la méthode généalogique Foucault - qui consiste à l'analyse historique des connaissances et pratiques - pour enquêter sur les conditions de possibilité qui favorisaient la dévaluation du manuel à la clinique et la dissociation conséquente entre cela et faire intellectuel. Notre engagement est de procéder à l'analyse du travail comme ontologie, nous trouvons dans les hypothèses Arts and Crafts (MAO) à penser à d'autres rapports du sujet avec le travail et le faire manuel. Le MAO propose l'appréciation du métier de fabrication comme une alternative au travail mécanique et stéréotypée de l'ère industrielle qui appauvrit les expériences de l'homme dans leurs actions quotidiennes. Nous croyons que la recherche sur les bateaux de fabrication, peut contribuer à l'analyse de l'utilisation des activités manuelles dans la perspective historico-politique de faire manuel comme un dispositif pour favoriser l'autonomie et l'inclusion sociale. Nous comprenons que la recherche sur l'activité artisanale du travail de conception comme ontologie permettent d'accroître la connaissance de la santé mentale sur la relation de l'homme à faire aussi bien que contribuer à une analyse plus puissante sur les faits et gestes des ateliers de création